La personne qui vieillit, avec ses difficultés plus ou moins grandes,reste le sujet de son histoire, et demande à être reconnue comme telle. La rencontre de la personne dans son plus grand dénuement déstabilise fortement. La reconnaissance d’une vulnérabilité réciproque pourrait être garante de la dimension éthique de la relation à l’autre. La vulnérabilité est ainsi du côté de l’interdépendance et de la responsabilité collective.