Comment dire, écrire, faire savoir qu’il y a du plaisir à prendre soin et à accompagner une personne rencontrée à l’hôpital jusqu’à la fin de sa vie, même si ce travail est souvent douloureux ? « Vous avez bien du courage » entend‑on souvent. Peut‑être, mais il serait juste aussi de dire que c’est comme une chance que nous savons saisir. Les professionnels et les bénévoles désirent investir ce champ clinique, prendre soin et avec bonheur.

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SOMMAIRE DU NUMÉRO 148

• Aimer la vie en dépit de la mort – Catherine Marin
• Du plaisir à la joie (spinoziste). Comment et jusqu’où peut‑on s’épanouir dans le soin en fin de vie ? – Julie Henry
• Rester vivantes – Yvette Chazelle
• Dans le bénévolat en soins palliatifs, peut‑on parler de bonheur ? – Dan Ferrand‑Bechmann
• Accompagner en unité de vie protégée – Véronique Plassard
• Que dit la fleur… ? – Marie‑Thérèse Anxionnaz
• La construction collective du plaisir au travail en unité de soins palliatifs – Florent Schepens
• De l’idéal à la rencontre – Annick Augier
• Quelles sont les valeurs qui portent et que portent les soignants en soins palliatifs ? – Ruxandra Simona Ivanescu
• Haut les cœurs – Laure Brun
• Le musicothérapeute qui exerce en soins palliatifs est‑il heureux ? – Cécile Fourage
• Jusqu’au bout de la vie, au cœur de la joie avec les Neztoiles – Géraldine Thiersault, Solenne Siben, Manou Clair
• Fin de vie des personnes en situation de handicap en temps de Covid. Louis avait 58 ans… – Emmanuelle Mikanga, Stéphanie Vallade