Tisser la relation nécessite de faire accueil des émotions qui la traversent au fil de la maladie, de la colère à la peur, des joies à la tristesse, et qui marquent de leur empreinte nos gestes, nos attitudes, nos regards, notre corps. Parfois le corps nous précède, nous déborde, et pourtant laisse simplement le goût de la justesse. Cette trace, moins distanciée, serait-elle pour autant moins professionnelle ?
VOUS SOUHAITEZ VOUS ABONNER À LA REVUE ? > Rendez-vous sur la page abonnement de notre site en cliquantICI. Vous pourrez alors choisir et commander directement la formule d'abonnement qui vous convient.
SOMMAIRE DU NUMÉRO 162
• La tendresse répond à la détresse – Éric Kiledjian • La place de la tendresse dans l’accompagnement – Pierre Reboul • La délicatesse, un habit pour le toucher – Myriam Legenne • Je le remercie pour sa confiance, pour ce qu’il m’a révélé à moi-même – Marie‑Thérèse Autuori • Distance ou proximité, telle est la question – Philippe Svandra • Proximité ou approche ? – Aloïse Philippe • La justesse dans le lien – Céline Peyre • Les méandres de la dépendance, de la différence à la déférence – Maud Gallo, Elsa Bouvier, Lise Herengt, Pauline Grebet • La juste proximité : d’un travail sur le dégoût comme impératif – Véronique Avérous • La barrière, le mur et la claque : à quelle distance soigne-t-on ? – Flora Bastiani • La juste proximité – Carole Kerbiriou • Si loin si proche : un exercice d’équilibriste ? – Christoph Tarade • L’incertitude en soins palliatifs – Groupe de réflexion éthique de la Sfap • Bénévoles en soins palliatifs : hier, aujourd’hui, demain – Pierre Reboul